Lauréats du premier prix de la catégorie Enseignement et formation :

Laura Minard, Ny Phonchareon, Samantha Scott, Amanda Daniels et Claudia Harding
Santé Nouvelle-Écosse

Laura Minard, Ny Phonchareon, Samantha Scott, Amanda Daniels et Claudia Harding de Santé Nouvelle-Écosse se sont vu décerner le 1er prix HOPE de la catégorie Enseignement et formation pour leur projet intitulé « Développement et mise en œuvre d’une clinique dirigée par des pharmaciens dont la mission est axée sur l’éducation et la prise en charge de la toxicité auprès de patientes atteintes d’un cancer du sein sous traitement (néo)adjuvant ».

Laura et son équipe ont reconnu l’existence d’un besoin non comblé en matière d’éducation des patients sur les médicaments utilisés en oncologie, les interactions médicamenteuses, les effets secondaires et la prise en charge de la toxicité en pharmacie. À cette fin, l’équipe a créé et mis en œuvre une clinique d’oncologie dirigée par des pharmaciens pour combler cette lacune liée au traitement. Le projet initial s’adressait à des patientes atteintes d’un cancer du sein sous traitement néo/adjuvant par voie intraveineuse.

Résultats (novembre 2021 à décembre 2022) :

• • Dans le cadre de 328 entretiens avec des patientes, 157 problèmes liés à la médication ont été décelés par la clinique, notamment : effets indésirables (n = 63), nécessité d’un traitement additionnel (n = 40) et interactions médicamenteuses (n = 25).
  • Les interventions réalisées par les pharmaciens de la clinique comprenaient : conseils aux patientes (n = 132), recommandations en vue de l’instauration d’un nouveau traitement (n = 15) et modifications posologiques (n = 11).
  • Les classes de médicaments associées le plus souvent à des problèmes pharmacologiques nécessitant l’intervention d’un pharmacien comprenaient les antiémétiques (53 %), la chimiothérapie (15 %) et les médicaments pris à domicile (11 %).
  • Les problèmes de toxicité nécessitant le plus souvent l’intervention d’un pharmacien comprenaient : les nausées et les vomissements (43 %), la douleur (28 %) et les troubles intestinaux (14 %).

Ces entretiens ont permis aux pharmaciens de la clinique de noter une amélioration des connaissances, de la maîtrise des symptômes, de la qualité de vie et de l’observance ainsi qu’une amélioration probable de la réponse au traitement chez les patientes ayant été reçues à la clinique.

Lauréats du premier prix de la catégorie Enseignement et formation :

Laura Minard, Ny Phonchareon, Samantha Scott, Amanda Daniels et Claudia Harding
Santé Nouvelle-Écosse

Laura Minard, Ny Phonchareon, Samantha Scott, Amanda Daniels et Claudia Harding de Santé Nouvelle-Écosse se sont vu décerner le 1er prix HOPE de la catégorie Enseignement et formation pour leur projet intitulé « Développement et mise en œuvre d’une clinique dirigée par des pharmaciens dont la mission est axée sur l’éducation et la prise en charge de la toxicité auprès de patientes atteintes d’un cancer du sein sous traitement (néo)adjuvant ».

Laura et son équipe ont reconnu l’existence d’un besoin non comblé en matière d’éducation des patients sur les médicaments utilisés en oncologie, les interactions médicamenteuses, les effets secondaires et la prise en charge de la toxicité en pharmacie. À cette fin, l’équipe a créé et mis en œuvre une clinique d’oncologie dirigée par des pharmaciens pour combler cette lacune liée au traitement. Le projet initial s’adressait à des patientes atteintes d’un cancer du sein sous traitement néo/adjuvant par voie intraveineuse.

Résultats (novembre 2021 à décembre 2022) :

• • Dans le cadre de 328 entretiens avec des patientes, 157 problèmes liés à la médication ont été décelés par la clinique, notamment : effets indésirables (n = 63), nécessité d’un traitement additionnel (n = 40) et interactions médicamenteuses (n = 25).
  • Les interventions réalisées par les pharmaciens de la clinique comprenaient : conseils aux patientes (n = 132), recommandations en vue de l’instauration d’un nouveau traitement (n = 15) et modifications posologiques (n = 11).
  • Les classes de médicaments associées le plus souvent à des problèmes pharmacologiques nécessitant l’intervention d’un pharmacien comprenaient les antiémétiques (53 %), la chimiothérapie (15 %) et les médicaments pris à domicile (11 %).
  • Les problèmes de toxicité nécessitant le plus souvent l’intervention d’un pharmacien comprenaient : les nausées et les vomissements (43 %), la douleur (28 %) et les troubles intestinaux (14 %).

Ces entretiens ont permis aux pharmaciens de la clinique de noter une amélioration des connaissances, de la maîtrise des symptômes, de la qualité de vie et de l’observance ainsi qu’une amélioration probable de la réponse au traitement chez les patientes ayant été reçues à la clinique.